• Valkyria, késako mon vieux ?

     

    Sega nous promet du bon avec ce hit qu'est Valkyria Chronicles, un bon RPG comme on les aime, avec une pointe de tactique
    ainsi une technique artistique plaisante complétez le tout avec un gamepay comme on les aime . Je vous sens impatients, allez voilà le test de Play3-live :

     

    1935, l'Europe est divisée en deux. A l'Est, l'Alliance Impériale, résultat de la fusion de plusieurs pays militarisés, a pris les armes et compte bien envahir le reste du continent européen, en s'attaquant aux républiques de l'Ouest, formant la Fédération Atlantique. Outre cette envie totalitaire de conquérir un territoire propice à la paix, le but de l'Alliance Impériale est de s'emparer d'une ressource naturelle puissante et inestimable, le Ragnite, appartenant jadis à une ancienne civilisation disparue, les Valkyriens.

    De ce fait, toute l'Europe est occupée. Toute ? Nooon, car un petit pays résiste encore et toujours à l'envahisseur et c'est ici, à Gallia, que se trouve cette fameuse ressource convoitée par l'ennemi.
    Le joueur sera alors plongé dans la peau d'un jeune habitant de Gallia et de ses frères d'armes de l'escadron 7, pour vivre ce terrible conflit aux allures de Seconde Guerre Mondiale, revisité avec autant de candeur que de violence made in Japan.




    Quand Welkin, notre jeune biologiste fan de petits insectes rentre au pays, tout se précipite rapidement. Son village est attaqué par des troupes de l'Alliance Impériale et prendre les armes devient une question de survie. Engagé dans ce combat malgré lui, le jeune héros livrera de nombreuses batailles sous le drapeau de la liberté et à la tête de l'escadron 7 pour protéger son pays de l'envahisseur.

    Voilà en quelques lignes ce que vous propose le titre, le décor est planté. N'y voyez en aucun cas une quelconque allusion à une trame scénaristique trop maigre, Valkyria Chronicles vous transportera au beau milieu d'une histoire touchante, sous fond de guerre mondiale certes, mais qui ira plus loin en proposant des personnages travaillés, attachants et charismatiques. Malgré tout de même son côté cliché, le scénario ne laissera pas indifférent le joueur de part l'horreur de la guerre vécue par les personnages mais aussi par certains événements terribles et périodes sombres de la Seconde Guerre Mondiale, retranscris au cours de l'aventure.

    Au niveau de la narration, SEGA nous livre une nouvelle petite perle sortie de l'imagination gambergeante de ses studios. C'est sous forme d'un roman que vous vivrez cette aventure chapitre par chapitre, ces derniers étant constitués de plusieurs épisodes, découpés en cut-scenes narratives et incluant à chaque fois une nouvelle mission.

    Cette mise en scène romanesque permet une immersion instantanée au cœur du conflit et de la vie de ces personnages. De plus et grâce à une réalisation graphique exemplaire, le joueur aura une réelle impression de se retrouver devant un dessin animé avec de longues séquences pleines d'émotion et d'humour, entremêlées par des batailles où votre rôle de joueur et de fin stratège sera mis à l'épreuve.
    Un énorme bon point pour le titre qui sent bon le travail bien fait dès les premières minutes et qui ne se contente pas seulement de nous faire enchaîner des batailles quelconques au beau milieu d'une histoire sans fond.

    http://www.play3-live.com

    Lire là partie 1 du test, cliquez ici

    Lire la partie 2 du test, cliquez ici

    Lire la partie 3 du test, cliquez ici

    Lire la partie 4 du test, cliquez ici

     

     


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  • Pourquoi est-il classé dans la rubrique PS3 ?!

     

    J'ai classé cet article dans la catégorie PS3, mais c'est aussi valable pour la Xbox360 ou encore le PC, c'est un jeu multi-plateforme bien sûr. Un membre de la communauté de jeuxvidéo.fr à poster une vidéo pour que vous puissez découvrir son "diagnostique".
    Ce membre se fait appeler Dr.House, il joue sur la version PC de Tomb Raider Underworld, allez je vous laissez découvrir la suite :

    Test de Dr.House, cliquez ici


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  • Allez, le test !

     

    Rappelez vous, Resistance, l'un des meilleurs hits de lancement du monolithe de Sony, j'ai nommé la Playstation 3.
    Un des jeux, dont Sony a pris un gros risque en les faisant débarquer avec la PS3.

    En effet, si un jeu d'un série connue serait sorti avec la PS3, comme un GT, MGS, PES, FF etc.... ils auraient tout de même eu plus d'assurance. Autant le concept MotorStorm était plutôt original avec ses courses off-road et a pu se faire une place mais Resistance, lui qui appartient à un genre assez à la mode, nous aurait mal fait imaginé comme il aurait pu s'en sortir mais c'est fait ! Voilà maintenant le test de Play3-live :

     

     

    Faisant parti du line-up européen de la PlayStation 3, Resistance premier du nom avait fait forte impression. Ses graphismes plutôt réussis, son ambiance très particulière, et une prise en main simple pour un FPS à la manette, avait fait de Resistance Fall of Man, l'un des jeux PS3 les plus populaires. Resistance 2 saura-t-il se montrer digne de la réputation de son prédécesseur ? Découvrons la réponse ci-dessous, en nous plongeant dans l'histoire du jeu.

    Vous incarnez toujours Nathan Hale, qui dans le premier épisode, tentait de sauver l'Angleterre de la menace chimérienne, dernier territoire européen à n'avoir pas été totalement envahi. Vous reprenez donc l'histoire à la suite de cette première aventure, en vous rendant vers les Etats-Unis, dernière zone saine du monde.

    Malheureusement, l'accalmie fut de courte durée... puisque deux ans après l'arrivée de Hale, les Chimères lancèrent des attaques coordonnées sur plusieurs villes américaines, décimant ainsi la majorité de la population, et convertissant les survivants en soldats chimériens.

    Hale rejoint alors une agence gouvernementale secrète, qui envoie au front des soldats spéciaux, nommés les Sentinelles. « Spéciaux », car ce ne sont pas de simples soldats, ces grands gaillards ont le virus chimérien qui coule dans leurs veines, leur octroyant ainsi des aptitudes surnaturelles, comme la capacité de régénération de la santé en restant à l'abri des tirs ennemis.

    Certaines réponses seront apportées aux questions du premier épisode, mais malheureusement, de nouvelles questions resteront en suspens, la faute à un scénario un peu trop flou, et trop centré sur les actions de Hale. On ne sait pas vraiment qui organise ces troupes, qui prend les décisions de telle ou telle chose… Ce mode solo vous occupera une dizaine d'heures, au travers d'un prologue, suivi de 7 chapitres.

    . De l'action plein les mirettes



    Resistance 2 est vraiment beau, c'est indéniable. Ce n'est pas le plus beau jeu actuel, mais il est réellement bien placé.

    Outre les superbes cinématiques, le jeu en lui-même a de quoi être fier. Les textures sont en général bien détaillées, et certains effets comme l'eau, sont à rester scotché quelques instants devant son écran. Tout comme les boss, absolument gigantesques, tel le Goliath du prologue, le Krakken, et bien d'autres encore… Sans parler des vaisseaux énormes qui survolent en permanence les zones de combat, accompagnés par de multiples vaisseaux, de taille plus petite.

    L'IA est un autre point fort du jeu. Concernant vos coéquipiers, il ne font pas que de la figuration, bien au contraire. Ils peuvent s'avérer bien utiles à certains moments, en vous épaulant lorsqu'une horde d'ennemis fonce vers vous, et peuvent même vous sauver la vie.

    Et les ennemis justement, sont parfois assez coriaces. Les chimères classiques ou plus lourdement armées sauront se mettre à couvert, appeler du renfort, et tenter de vous prendre à revers si besoin… Dans certaines zones, vous verrez foncer vers vous des créatures fraîchement écloses de cocons gluants, par dizaines… une bonne dose de stress, surtout lorsque l'on a peu de munitions ! Les ennemis plus imposants se permettront de foncer un peu plus dans le tas, tout en variant leurs attaques, ce qui les rend difficiles à abattre.

    Resistance 2 n'est pas un jeu facile, il faut être clair, mais c'est d'autant plus valorisant lorsque l'on termine chaque niveau. Vous pouvez porter deux armes maximum, parmi un total de 12 armes, chacune ayant un tir primaire et secondaire. S'ajoutent à cela différents types de grenades, selon l'effet désiré. Le mélange d'armes humaines et d'armes extra-terrestres étaient l'un des atouts du premier volet. Ce nouvel épisode ne déroge pas à la règle. Certaines armes déjà connues comme la carabine, le fusil à canon court, le foreur, le fusil à lunette, font leur retour avec quelques améliorations. De nouvelles armes font également leur apparition, comme le Magnum, très efficace avec le tir secondaire dont les balles peuvent exploser à distance et ainsi blesser les ennemis à proximité, ou encore le Trancheur, qui projette des disques metalliques acérés, rebondissant sur les murs et tranchant les membres des ennemis au passage...

    Sur le point du démembrement, Insomniac ravira les fans de gore et de sang, certaines armes offrent un vrai festival... dont quelques exemples figurent dans nos images et vidéos.

    Alors que le premier volet proposait déjà une expérience online solide, Resistance 2 excelle véritablement en la matière.

    Tout d'abord, survolons les modes dits "classiques", regroupés dans le menu "Modes de jeu compétitifs". Nous retrouvons premièrement les modes "Combat à mort" (deathmatch), "Combat à mort en équipe" (team deathmatch) et "Contrôle du centre nerveux" (capture the flag). Inutile de vous les présenter, s'agissant de la base de tout jeu multi. En revanche, le mode Skirmish (escarmouche) mérite de s'y attarder, car il propose aux joueurs de se regrouper en petites escouades, devant chacune accomplir des objectifs précis. Ainsi, même si le jeu permet de jouer jusqu'à 60 sur de vastes maps, les unités coordonnent leurs missions respectives, cumulant ainsi un maximum de points. On peut saluer cette initiative organisatrice, car elle permet d'éviter de tomber dans un gameplay nerveusement brouillon.

    A noter que pour l'ensemble de ces modes, les principales armes du jeu sont disponibles, au nombre de 9, passant du célèbre nettoyeur au trancheur, sniper au foreur, ou toutes autres armes qui alimenteront votre plaisir sadique. Vous pourrez également associer un pouvoir berserker à votre personnage. Comme l'étymologie l'indique, il s'agit d'un "mode furie", une compétence qui s'enclenche lorsque votre barre de berserker est pleine, pour quelques secondes d'activation. Cette barre se remplit selon vos points d'expériences gagnés. Libre à vous de choisir la compétence berserker qui vous semble la mieux adaptée à votre façon de jouer.

    Nous pourrions nous arrêter là, car les modes online décrits précédemment permettent déjà de bien s'amuser. Et bien non, car Resistance 2 propose également une aventure spécialement taillée pour la coopération ! L'équipe de développement nous a donc concocté 6 scénarios, chacun incluant une dizaine d'objectifs à accomplir. Au même titre que l'aventure solo, vous ferez face aux armées chimériennes, à la différence que vous jouerez aux côtés d'un ami offline, ou de 7 autres joueurs online ! Votre mission, si vous l'acceptez, sera de progresser dans ces campagnes, en remplissant un maximum d'objectifs. Pour se faire, libre à vous de choisir l'une des 3 classes de personnages proposées :

    • Les soldats mènent l'assaut, notamment grâce à leur mitrailleuse Spectral, leur champ de force protecteur et berserker réduisant les dégâts reçus de moitié.
    • Les médecins absorbent l'énergie des ennemis (tir primaire), pour la convertir en soins pour l'équipe (tir secondaire). Le berserker associé permet de soigner automatiquement les soldats à proximité du "cercle de vie".
    • Les forces spéciales approvisionnent l'équipe en munitions, pour ne jamais rester en pénurie face aux vagues ennemies. Ils possèdent le sniper chimérien et leur berserker augmente les dégâts causés et fait le plein de toutes leurs munitions.



    Sur le terrain, le mot coopération prend donc tout son sens, chacun comptant sur les compétences de l'autre. Bien que certains objectifs soient atteignables en fonçant tête baissée, d'autres nécessitent une réelle entraide, d'autant plus que des boss croiseront régulièrement votre chemin !

    Au cours de ces campagnes coopératives vous gagnerez de l'expérience, selon vos frags et actions, mais aussi selon vos objectifs communs remportés. Le gameplay est donc, a contrario d'un mode multi dit "classique", à l'opposé de l'individualisme. Votre expérience et vos objectifs vous permettront de débloquer armes, compétences, médailles et divers bonus. A noter qu'en récupérant de la "techno grise" sur les champs de batailles, vous pourrez les échanger contre des améliorations pour vos armes et équipements.

    Seul bémol, on parcourt assez vite les différents scénarios, mais chaque nouvelle partie en ligne est unique. Autant vous dire qu'on oublie rapidement l'absence du mode solo en coop.

     

    Source : http://www.play3-live.com


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