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L'information vient d'être divulgée et comme le laissait entendre la rumeur qui persistait depuis quelques jours maintenant, Disney a racheté le studio d'animations Pixar. L'opération a coûté 7,4 milliards de dollars US au groupe Disney. Le rachat devrait être finalisé d'ici cet été et les deux principaux maîtres d'oeuvre (John Lasseter et Ed Catmull) de Pixar devraient prochainement rejoindre les rangs de Disney.
Les actionnaires de Pixar vont recevoir 2,3 actions Disney en contrepartie d'une action Pixar. Cette opération fait de Steve Jobs (patron de Pixar et d'Apple, photo ci-dessous) le nouvel actionnaire principal et individuel de Disney.
Pour rappel, Pixar et Disney travaillent ensemble depuis 1995. Une collaboration qui a débuté avec le film d'animations « Toy Story » et qui s'est poursuivi avec « Mille et une pattes », « Toy Story 2 », « Monstres et compagnie », « Le Monde de Nemo » et « Les Indestructibles » . La fin du partenariat avec Pixar avait été annoncée en janvier 2004 à la suite d'un différend avec Michael Eisner qui était à l'époque directeur général de Disney. Depuis, les choses ont changé et c'est bien Robert Iger (photo ci-contre) à la tête de Disney qui a organisé une partie de ce rachat important.
C'est aussi Robert Iger qui a signé avec Apple il y a quelques mois, un partenariat, afin d'autoriser la vente de programmes télévisés Disney comme Desperate Housewives ou Lost sur le service iTunes Music Store destiné aux utilisateurs de baladeurs iPod.
Steve Jobs, patron d'Apple et de Pixar, devient l'actionnaire incontournable de Disney
La signature de ce rachat place Steve Jobs en position de force. Le président d'Apple qui rencontre parfois des difficultés pour négocier les contrats avec les fournisseurs de contenus (on citera essentiellement la pression exercée par les maisons de disques qui souhaitent augmenter les tarifs de vente sur iTunes Music Store) pourrait effectivement utiliser sa position privilégiée au sein de Disney pour appuyer les plateformes de vente de contenus numériques en ligne d'Apple.
« Cars » (illustration ci-dessous) devrait être le prochain long métrage proposé par Pixar/Disney. Auparavant, ce nouveau film d'animations était considéré comme la dernière production Pixar distribuée par Disney. Désormais l'ensemble des prochains longs métrages, y compris le projet « Ratatouille » seront proposés par le couple Disney/Pixar, unifié pour de bon.
Cars devait être le dernier long métrage produit par Pixar et distribué par Disney... Robert Iger et Steve Jobs en ont décidé autrement !
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Dungeons & Dragons est tout simplement le système de jeu qui a jeté, voilà maintenant une trentaine d'années, les bases de tous les jeux de rôle et par extension de tous les MMORPG qui, aujourd'hui, dévorent nos vies sociales. Rien de moins ! Quoi de plus normal, le succès de WOW et consorts aidant, de voir débarquer sur nos PC une version en ligne et massivement multijoueur de ce titre fondateur ? Développé par Turbine sous l'égide d'Atari, D&D Online : Stormreach veut faire le lien entre les fans vétérans qui connaissent la marque depuis des années et les passionnés qui se sont mis au jeu de rôle bien plus récemment. Par conséquent, s'il présente des classes de personnages classiques (paladin, sorcier, voleur, clerc, etc), des races connues (humains, elfes...) ou les talents habituels (diplomatie, premiers soins, constitution...), il s'appuie sur un système de combat attractif car totalement pensé en temps réel. Dans D&D Online, on pourra éviter les coups de ennemis en alignant les pas de côté, les roulades et autres acrobaties. Dans d'autres titres du même genre, il suffit de s'offrir un bouclier pour bénéficier en permanence du surcroît de protection qu'il procure. Ici, ce même objet absorbera constamment une partie des dégâts mais, si vous le brandissez au bon moment, vous bénéficierez d'un bonus qui pourra éventuellement vous sauver la vie. Il faudra donc rester très actif lors des combats, garder en permanence un oeil sur les mouvements des ennemis et aussi apprendre par coeur quelles sont les touches qui déclenchent tel ou tel mouvement. Impossible donc de se servir de macros, n'en déplaise à ceux qui ont l'habitude d'occire des charrettes de malfaisants en appuyant uniquement sur une touche de leur clavier. Si cette mécanique paraît évidente pour les guerriers, les lanceurs de sorts ne seront pas en reste. En effet, chacune de leurs incantations donnera lieu à une litanie différente. Et comme ce principe sera là aussi vrai pour les adversaires, on pourra réagir et contrer efficacement leurs tentatives de nous transformer en bloc de glace ou de nous rendre plus lent qu'un escargot dépressif.
Les explorateurs risquent de rester sur leur faim dans la mesure où, dans un premier temps, D&D Online ne proposera qu'une seule ville : la "Stormreach" du titre. Outre les tavernes où on pourra trouver la majorité des quêtes, et les égouts ou les cryptes dans lesquels on rencontrera des momies, des spectres et des araignées d'un fort beau gabarit, il faudra se contenter d'un milieu constamment urbain et réfréner toute velléité d'aller arpenter de verts pâturages. Un choix pour le moins étonnant de la part des développeurs. Toutefois, ils savent rendre leur vision intéressante en promettant des petites options mûrement réfléchies pour le jeu en équipe comme la gestion des casques-micro permettant de discuter au sein d'un même groupe ou un mode de distribution du butin qui devrait calmer toutes les âpres discussions qui, sous d'autres cieux virtuels, suivent l'ouverture du moindre coffre ou la fouille du cadavre d'un boss. Dans Stormreach, tous les membres d'un groupe pourront fouiller un coffre à tour de rôle et chacun y découvrira un objet spécifique. Et, histoire qu'il n'y ait aucun jaloux, tous ces artefacts seront d'un niveau et d'une rareté équivalents. Ensuite, tout le monde sera libre d'échanger, de vendre ou d'acheter ses objets ou ceux de ses camarades. Voilà qui devrait détendre les relations entre joueurs... Les serveurs s'ouvriront au public courant mars 2005.
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Récemment retardé au mois d'avril 2006, Socom 3 ne se fait pas oublier pour autant, en témoignent cette vingtaine d'illustrations tout juste diffusées par Sony. Au rayon des nouveautés, sachez qu'il sera désormais possible de nager, de conduire un bon nombre de véhicules et de jouer à 32 (au lieu de 16) en multi. Enfin, les missions devraient être plus longues que dans le volet précédent et moins linéaires puisque plusieurs itinéraires nous seront proposés.
Socom 2 un jeu excellent qui fait parti des premiers jeux sur lequel on pouvait jouer en multijoueur, voici la suite!
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Faisant partie des premiers titres utilisant la compatibilité PS2 / PSP, SOCOM US Navy Seals : Fireteam Bravo sortira en même temps que le troisième volet PS2, le 19 avril prochain. Celui-ci, qui contiendra sa propre campagne et des missions inédites, proposera notamment un mode multi, illustré dans cette série d'images. La différence notable avec les versions 128 bits se fera sur le système de visée, semi-automatisé pour remplacer le stick analogique. votre commentaire
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